La Femme De Mon Ami Bachir Episode 2 : Bachir Maître D’œUvre De Son Cocufiage

L’épisode de l’éjaculation buccale et faciale de Bachir sur Kamila, ainsi que le plaisir évident qu’elle avait pris à avaler tout son foutre, avaient redonné de la vigueur à mon sexe, encore enfoncé dans l’anus de la femme. Je le sentais qui grossissait à l’intérieur du tunnel chaud et moulant, encore dégoulinant de sperme. J’avais encore une furieuse envie de faire l’amour à cette fabuleuse femme qui était toujours sous moi, allongée sur son ventre, à même le carrelage.
Je regardais vers Bachir, pour vérifier qu’il était toujours dans le même état d’esprit du candauliste heureux, qui venait de vivre sa première expérience de mari cocu, mais aussi pour lire dans ses yeux le désir de nous voir, Kamila et moi, poursuivre notre quête effrénée de plaisir érotique. Il m’envoya un large sourire, que j’interprétais comme un encouragement à aller encore plus loin. Je pris immédiatement la décision de reprendre possession de la chatte de ma belle, mais cette fois-ci en levrette. Je m’apprêtais à sortir mon engin du cul dans lequel il était toujours planté, pour mettre ma partenaire en position et entamer le pilonnage de la chatte.
Mais Bachir ne le voyait pas de cet œil. Contrairement à ce que je pensais, il ne voulait pas se comporter en spectateur passif. Il voulait participait aux scènes, mais pas en qualité d’acteur. Ce qu’il avait fait tantôt – se masturber en fin de parcours, pour vider ses bourses trop pleines, lui suffisait largement. Surtout – et c’était là un de ses fantasmes préférés - qu’il avait éjaculé sur le visage de son épouse et qu’il l’avait regardé avaler tous son foutre avec délectation. Sa véritable participation à nos ébats, il la voulait en qualité de maître d’œuvre du spectacle qui allait suivre; comme son metteur en scène; comme directeur d’acteurs. Il voulait diriger la manœuvre. Il rêvait même de filmer un jour Kamila entrain de subir les assauts effrénés d’un ou de plusieurs amants. Mais ce fantasme là, il ne l’avait encore dévoilé à personne.

Il le fera peut-être un jour, si les conditions du moment le permettent.
J’appris assez rapidement – au cours même de cette première aventure - qu’une grande partie de l’immenses plaisir que Bachir prenait à voir sa femme se faire tirer par quelqu’un d’autre résidait surtout dans cet acte de diriger la manœuvre et de dicter aux acteurs ce qu’ils devaient faire. Il se considérait comme un artiste en pleine création. Presque comme un Dieu (un des Dieux du panthéon grec ou romain). Il voulait être comme Pygmalion qui avait créé Galatée et l’avait façonnée selon ses désirs. Bachir voulait façonner Kamila – qui avait déjà la beauté surhumaine de Galatée – selon ses propres désirs sexuels et érotiques. Il voulait qu’elle fasse exactement ce que, lui, désirait qu’elle fasse; pas comme une simple esclave soumise ou une chienne en chaleur ; comme une femme qui comprend parfaitement ses motivations et qui les faisait siennes.
Il voulait faire faire à sa femme – et accessoirement à son, ou à ses, amants absolument tout ce qui, sur le moment, lui passait par la tête en matière d’érotisme. Et je ne sais par quel miracle, il avait réussi à inculquer à Kamila sa conception de l’érotisme; qu’il l’avait convaincue qu’elle allait trouver son bonheur dans l’adultère assumée et acceptée par son mari. Dans le cocufiage organisé et mis en scène par lui. Et non seulement elle était convaincue, mais d’après ce que j’en avais vu, elle adorait ce qui était entrain de se passer. Elle semblait vivre des moments exceptionnels de bonheur. Elle acceptait, sans rechigner, de faire tout ce que son mari lui demandait de faire, même quand elle n’appréciait pas où même comme, nous allions le vivre ce soir là, l’épisode était pour elle, plus douloureux que jouissif.
Pou Bachir, c’était comme s’il faisait faire à sa femme et à ses amants tout ce que, sur le moment, ses fantasmes lui dictaient. Cela lui permettait de ressentir - par procuration - tout le plaisir que prenaient les amants de Kamila en lui faisant ce qu’il leur commandait de faire.
Et cela lui permettait aussi de satisfaire une de ses autres perversions sexuelle : son côté voyeur. Il pouvait ainsi contempler de visu, tout ce qu’il ne pouvait pas voir quand c’était lui qui était à la manœuvre et faisait l’amour à sa femme: sa manière de prendre du plaisir et de jouir sous les coups de boutoir d’un homme. Il pouvait tout voir en même temps : le bonheur qui éclairait le visage de Kamila, ses yeux qui brillaient de lubricité, son corps qui subissait le traitement humiliant de la chienne en chaleur, ses différents trous possédés brutalement et occupés par d’énormes sexes.
Et cette première expérience qu’il venait de vivre, grâce à moi, l’avait persuadé qu’il était sur la bonne voie. Non seulement elle lui avait confirmé qu’il était vraiment candauliste (il craignait un peu que son éducation traditionnelle allait brider son plaisir ; or il n’en a absolument rien été) mais aussi qu’il avait pris lui-même autant de plaisir à regarder sa femme jouir comme une folle sous les coups furieux de mon engin, qu’elle de vivre cette jouissance paroxysmique.
Il avait vu les yeux de sa femme briller de désir et de luxure; il avait vu sa bouche s’ouvrir et laisser passer, en même temps que des litres de bave qu’elle était incapable de retenir, tous les mots crus qu’elle adorait prononcer dans ces moments-là et sans lesquels sa jouissance aurait été incomplète. Il avait vu sa tête balancer de manière désordonnée, sous l’effet du plaisir; et il avait contemplé son merveilleux corps entrain de subir, et réagir, à mes assauts furieux et à mes coups de reins. Il avait aussi - et c’était un de ses autres fantasmes incontournables - pu contempler mon engin qui, sans me vanter, était d’une bonne taille, prendre possession de ses deux trous et la voir sa femme se comporter en chienne en chaleur ou en esclave docile, offerte corps et âme à mon bon vouloir. Tout cela l’avait rendu heureux. Mais maintenant, il voulait aller encore plus loin : organiser lui-même le spectacle !
- Ma t’nik‘hach beggari ! Nik‘ha men foum‘ha ! Foum‘ha ki el hatchoune ! Et’hab et-belaâ zboub! (Ne la nique pas en levrette ! Nique-la par sa bouche ! Sa bouche est comme une chatte ! Elle adore avaler les zobs ! ) Ma et-khafch et-wedjaâ‘ha ! Wedjaâ‘ha ! (N’ai pas peur de lui faire mal ! Fais-lui mal !)
J’étais un peu étonné de l’intervention de Bachir.
Je pensais qu’il voulait seulement nous regarder baiser, et peut-être intervenir plus tard en tant qu’acteur (je ne savais pas trop pourquoi, mais je pensais à la double pénétration). Et là, il était tout simplement entrain de nous dicter ce que nous devions faire. J’étais sur le point de me révolter et de ne pas tenir compte de ce qu’il était entrain de nous dire. Mais d’un autre côté, il était absolument vrai que la grande bouche de Kamila, avec ses lèvres pulpeuses et superbement ourlées, était à l’image d’une superbe chatte, brillante de mouille. C’était un vrai piège à fantasme. Je finis rapidement par trouver l’idée – l’ordre ? – de Bachir enthousiasmante. Je ne vis donc aucun inconvénient à sortir du cul dans lequel j’étais, pour venir me mettre debout devant Kamila qui, obéissant sans rechigner à l’ordre de son mari, s’était rapidement mise à genoux, la bouche grande ouverte et la main tendue pour attr mon engin pour le guider et en même temps le masturber.
- Bel’3i zebou ! Kheli‘h yedkhoul gaâ ! Edjbed‘ha men chaâr‘ha! (Avale son zob! Laisse-le complètement entrer ! Tire-la par les cheveux !)
Bachir continuait à donner ses ordres, tantôt à sa femme, tantôt à moi. Je le voyais qui jubilait. Il avait toujours la braguette largement ouverte et le sexe, à l’air libre, en très forte érection. De temps en temps, il le prenait dans sa main droite pour le caresser, puis le relâchait pour s’occuper de nous haranguer. Pour ma part, je ne l’écoutais plus. Et je crois que Kamila non plus. Nous étions trop pris par ce que nous faisions. La bouche de Kamila était vraiment à l’image d’un vagin : étroit, chaud, visqueux et doux. Mon engin se sentait au paradis. Surtout quand il allait titiller la glotte et tentait même de la dépasser. Elle savait parfaitement s’y prendre pour faire une fellation. Et même si je lui faisais mal en la tirant comme une brute, elle ne faisait rien pour m’en empêcher. De temps en temps, elle me repoussait pour pouvoir reprendre sa respiration et cracher le trop plein de salive que lui faisait produire mon sexe en allant et venant dans sa bouche, mais rapidement elle me laissait reprendre le violent mouvement de va-et-vient qui menait le manche jusque qu’au fond de sa gorge.
Et Bachir continuait à vouloir diriger la manœuvre.
- Zid pompi ! Ma tehbesch ! Zid nik‘ha mel foum ! (Continue à pomper! N’arrête pas! Continue à la niquer par la bouche !)
Les harangues de Bachir, qui me parvenaient de loin comme dans un rêve, avaient le don de m’exciter encore plus et de me rendre encore plus brutal. Je me comportais comme un goujat avec la femme. J’en étais conscient, mais je me sentais le droit de le faire : c’était son mari qui me l’ordonnais ! Fort de ce prétexte parfaitement hypocrite, je tirais encore plus fort Kamila par les cheveux pour pouvoir manœuvrer à mon aise. Je faisais, maintenant sortir totalement le sexe de sa bouche, je la laissais respirer une fraction de seconde et l’enfonçais de nouveau, avec encore plus de force et de violence. Il pénétrait jusqu’au plus profond de sa gorge. Je prenais soin toutefois de ne pas le laisser trop longtemps au fond, pour ne pas qu’elle vomît. Je ressortais aussitôt jusqu’à quelques centimètre à l’extérieur de sa bouche et reprenais le chemin inverse avec de plus en plus de force et en allant de plus en plus loin. A la fin mes couilles venaient cogner contre ses dents, m’indiquant ainsi qu’il m’était impossible d’aller plus au fond.
Je n’ai jamais su par quel miracle Kamila avait réussi à ne pas et à ne pas vomir. Pour jouir encore plus fort du spectacle, je poussais le sadisme jusqu’à lui relever la tête, à chaque fois que je sortais de sa bouche, pour jauger l’effet que l’opération avait sur elle. Elle avait les yeux qui n’arrêtaient pas de larmoyer; le nez qui coulait à flots continus et déversait des litres de morve qui se mélangeaient à toute la salive qui sortait des commissures de ses lèvres ; le tout allait s’étaler sur sa magnifique poitrine nue. Malgré que, visiblement, elle souffrait beaucoup, elle ne protestait pas. Elle continuait courageusement à supporter la douleur que je lui occasionnais; pour mon grand plaisir à moi et aussi, pour celui de son mari qui suivait la scène avec des yeux exorbités, des narines qui tremblaient d’excitation et le zob qui frétillait dans sa main droite. Il en était maintenant à se branler avec vigueur, tout en nous regardant.
Kamila supportait le supplice pour nous démontrer, à son mari et à moi, qu’elle était vraiment à la hauteur ; qu’elle savait donner du plaisir à son amant, même quand elle-même n’en prenait pas. Elle devait se dire - pensais-je avec ma mauvaise foi habituelle - qu’elle avait déjà pris beaucoup de plaisir auparavant, et qu’avec un amant de ma trempe, elle allait encore en prendre beaucoup plus à l’avenir. Elle se devait donc de supporter quelques petits moments de douleur. Quand la mauvaise foi se mélange à la vantardise !
Elle me raconta plus tard, quand elle et moi devinrent vraiment inséparables, et que je m’étonnais devant elle du fait qu’elle acceptait la que je lui infligeais – et que plus tard ses autres amants lui infligeaient aussi – sans qu’elle n’y prenne elle-même une once de plaisir. Elle me disait qu’elle adorait la fellation, surtout quand il s’agissait de sucer de belles queues. Mais elle aimait le faire à son rythme et sans la violence que nous, ses amants, aimions lui infliger. Si elle acceptait la douleur et la gêne de notre manière de la baiser par la bouche, c’était seulement pour nous faire plaisir, parce qu’elle savait que nous adorions ça. Elle y prenait tout de même du plaisir au moment où elle sentait la queue de son amant gonfler dans sa bouche et y éclater pour y déverser tout son foutre. Elle me disait aussi qu’elle adorait le goût, l’odeur et la viscosité du sperme.
Je ne tins pas très longtemps avant de sentir arriver la jouissance. Je tirai encore plus fort sur les cheveux de Kamila et entrepris d’accélérer encore plus le mouvement de va-et-vient. Au bout de quelques secondes mon sexe éclata et envoya une première bordée d’un sperme visqueux, épais et brûlant au fond de sa gorge. Elle ne put faire autrement que de l’avaler ; sinon elle aurait surement étouffé avec tout ce sperme qui risquait de prendre le chemin de ses poumons. Les autres giclées, elle les reçut dans la bouche : une grande partie ressortit à l’extérieur expulsé par les va-et-vient du mon sexe, pour aller se répandre sur sa généreuse poitrine. Je m’arrêtai de la piner et fis sortir le manche de sa bouche. Elle le reprit dans sa main droite et se mit à le lécher frénétiquement pour le nettoyer du reste de sperme qu’il contenait encore. Quant elle eût fini, elle claqua la langue d’une manière sonore et impudique pour nous faire comprendre à Bachir et à moi, qu’elle adorait boire du sperme.
Bachir en profita pour se rapprocher de nous. Il était toujours entrain de se branler frénétiquement. Il vint se mettre à côté de moi de manière à ce qu’il puisse éjaculer sur le visage et la poitrine de Kamila, qui était restée à genoux sur le carrelage, le visage à hauteur de nos bas-ventres, à son mari et à moi. Il ne tarda pas à éjaculer, en plusieurs jets, sur le visage et la poitrine de son épouse. Il gémissait très fort et accélérait le rythme de la branlette de manière à se vider complètement.
Kamila lâcha mon sexe encore tout frétillant, qu’elle avait continué à serrer très fort durant tout le temps que son mari avait mis pour vider ses bourses, pour aller ramasser avec ses doigts tout le foutre qu’elle avait sur son visage, sur sa gorge et sur ses seins. En même temps qu’elle faisait cela, elle levait la tête vers nous et, comme pour nous narguer, elle léchait ses doigts avec ostentation, en nous souriant de manière provocante. Et quand elle eût fini, elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais aucun mot ne put en sortir. Elle était sans voix. Mon sexe avait dû trop frotter sur ses cordes vocales et les avait rendues inopérantes. (Heureusement que le traumatisme de ses cordes vocales ne dura pas plus de quelques heures. Elle reprit sa voix normale le lendemain matin, après une nuit de sommeil réparateur.)
Mais Bachir, tout comme moi, comprîmes que Kamila était très fière de ce qu’elle venait de faire. Ses yeux qui brillaient et le sourire triomphant qu’elle avait sur les lèvres, indiquaient qu’elle était heureuse. Je regardais Bachir pour connaître la suite qu’il nous réservait et vis que lui aussi avait un sourire triomphal sur les lèvres. Il me regarda – presque tendrement – et alla vers sa femme pour l’enlacer et la serrer très fort contre lui.
- Tu as été magnifique ! Je savais bien que tu étais douée pour l’amour ! Ce n’est qu’un début ; je te promets des moments aussi agréables qu’aujourd’hui. Avec Rafik, s’il veut bien continuer avec nous ; et avec d’autres hommes qui nous donneront autant de bonheur qu’aujourd’hui ! Tu veux continuer, n’est-ce pas ?
Kamila, qui n’était pas en mesure de répondre de vive voix, hocha la tête en guise d’assentiment. Elle se tourna vers moi pour connaître ma position. Je lus dans ses yeux comme une angoisse : une angoisse que je refuse de poursuivre l’aventure. Surtout que Bachir n’avait pas caché son envie d’élargir le champ de l’expérience à d’autres amants. Cette perspective ne m’agréait pas tellement : de nature je n’étais pas partageur. Mais je voulais absolument garder mes relations avec la magnifique Kamila.
- Bien sûr que je continue avec vous ! Il n’est plus question que je te laisse partir. Maintenant, tu m’appartiens autant que tu appartiens à ton mari. Tu peux me considérer comme ton deuxième époux. J’ai autant de droits sur toi que lui. Et je ne suis pas très sûr d’aimer le fait que tu te donnes à d’autres hommes : je fais partie des maris jaloux. Et je crois que je ferais tout pour te donner assez de plaisir pour que tu n’éprouves pas le besoin d’aller chercher ailleurs.
- Il ne s’agit pas de cela, répondit Bachir à la place de sa femme. Kamila a pris énormément de plaisir avec toi ; comme elle en prenait avec moi. Quand nous faisons l’amour ensemble, nous atteignons presque toujours des sommets. Mais cela n’empêche pas que nous ayons des fantasmes. Il y a tellement de situations érotiques que nous voulions vivre : moi c’était - et c’est encore - de voir ma chérie prendre du plaisir entre les bras d’autres hommes; elle, c’était - et c’est toujours - de se faire mettre par des beaux mecs bien membrés. Elle vient de vivre une partie des ses fantasmes avec toi. Et elle veut continuer, avec toi, qui lui a procuré le plaisir le plus intense qu’elle n’ait encore jamais connu ; mais elle veut aussi essayer d’autres aventures – si celles-ci viennent à se présenter. Pourquoi se priver ! On ne vit qu’une fois !
Et ces autres aventures arrivèrent très vite, qui me transformèrent, à mon corps défendant, en candauliste non assumé et honteux, malgré la jalousie qui me tiraillait et que je m’efforçais de cacher pour ne pas la perdre. Et un jour, notre merveilleuse Kamila ramena à la maison, dans laquelle je m’étais pratiquement installé, un superbe éphèbe - un nouveau collègue de travail - qui lui paraissait être à la hauteur de ses exigences. Il partagea notre vie sexuelle débridée pendant quelques temps et participa au bonheur sans tâche de notre femme.
Mais ceci est une autre histoire !

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